juste pour illustrer : pompé à l'instant sur Une pub leclerc
Croquettes pour chat

17.67 €/kg

Alors avant de gueuler comme des veaux revoyez vos cadis

QUI gueule comme des veaux ?

Un chat c'est plus rentable qu'un chomeur, çà baise les souris. C'est donc normal qu'il mange mieux qu'eux et qu'il coûte plus cher.

Croquettes de luxe à ce prix ! Pour un chien : croquettes de qualité à 12,50 € pour 10 kg
D'où sortez-vous votre pub ?

J'espère qu'à ce prix là, il lui fournisse la fourchette, le couteau et la serviette autour du cou.Tes croquettes sont fourrées au saumon, le prix est donc normal.

Visiteur a écrit:

juste pour illustrer : pompé à l'instant sur Une pub leclerc
Croquettes pour chat

17.67 €/kg

Alors avant de gueuler comme des veaux revoyez vos cadis

Reste à savoir si les personnes qui se plaignent du "Caddie trop cher" achètent aussi ces croquettes (sûrement haut de gamme) ???
On a le même problème avec l'automobiliste qui grogne du coût de carburant au volant d'une grosse auto qui consomme + 10l/100km !!!
Et sinon,je "gueule" pas moi

On ne le savais pas, mais cela se traduit par l'existence d'un marché de la croquette pour les animaux sur le territoire.
Les éleveurs de cochons feraient mieux de créer des usines à croquettes de cochons, il passeraient de 1,4 E/kg à 17,67 E/KG et là nous ne les entendrions plus se plaindre.
D'un côté ils toucheraient les subventions et de l'autre il se goinfraient de marges confortables.

C'est çà la solution que l'on devrait soumettre à LEFOLL

Vous,l'papa,à la prochaine manif d'agriculteur vous allez prendre cher aussi !!! un conseil gardez bien votre adresse de résidence secrète,sinon vous risquez de sentir de très près l'odeur du porc français



PS :aux éleveurs
Pas la peine de me contacter,je ne sais pas où habite notre papa

çà tombe bien LABAZE, j'ai besoin d'engrais. De plus çà leur remue le popotin pour faire avancer le chmilblick.


Je propose la création d'un fond d'investissement sur G-M basé sur l'hypothèque de la valeur des fermes et des installations agricoles, le temps que la crise passe. Rendez-vous à la banque demain matin!

 

A part çà , ton profil de concièrge c'est pas mal, les couleurs me plaisent

Labaze a écrit:

Visiteur a écrit:

juste pour illustrer : pompé à l'instant sur Une pub leclerc
Croquettes pour chat

17.67 €/kg

Alors avant de gueuler comme des veaux revoyez vos cadis

Reste à savoir si les personnes qui se plaignent du "Caddie trop cher" achètent aussi ces croquettes (sûrement haut de gamme) ???
On a le même problème avec l'automobiliste qui grogne du coût de carburant au volant d'une grosse auto qui consomme + 10l/100km !!!
Et sinon,je "gueule" pas moi

Bonsoir,
Pour répondre en partie à la question, voici un article récemment paru avant hier.

Un agriculteur met la clef sous la porte après 5 ans d'activité.


Il se garde de temps un temps un cochon et mange les salades et les pommes de terre que lui offre son voisin : Jean-Jacques Louboutin, 37 ans, éleveur de porcs dans le Finistère, va bientôt mettre la clé sous la porte de l'exploitation familiale, après cinq années dans le rouge. « Un agriculteur ne va jamais mourir de faim, mais on ne peut pas non plus vivre d'amour et d'eau fraîche toute sa vie », assure l'éleveur avec humour, lors d'un entretien avec l'AFP sur son exploitation, à Locronan, une petite cité de caractère au nord-ouest de Quimper.
En début d'année, son exploitation, qui compte 130 hectares de terres destinées à l'épandage de lisier et à la culture du blé, du maïs et du colza, ainsi que 300 truies, a été placée en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Quimper. « Mes cinq derniers bilans ont été négatifs, à moins 200 000 euros chaque année, pour un chiffre d'affaires de 900 000 euros », explique l'agriculteur aux cheveux coupés courts, qui porte de petites lunettes rectangulaires. Pourquoi ? Un prix du porc « trop bas » et un prix de l'aliment « trop élevé ».

« C'est une passion, ça ne s'explique pas »

Ce Breton a pris la tête de l'exploitation familiale en 2007, après l'avoir rachetée à ses parents pour 960 000 euros, alors qu'elle était déjà endettée à près de 80 %. « J'avais ça dans le sang, c'est une passion, ça ne s'explique pas », se justifie-t-il, reconnaissant ne pas avoir écouté les mises en garde de sa mère.
Né en 1979 à Quimper, Jean-Jacques Louboutin a grandi dans la ferme familiale. À onze ans déjà, il assure à son père qu'il veut un jour reprendre l'affaire. « À l'époque, si on travaillait sérieusement, on pouvait gagner sa vie », dit-il. « Ce n'est plus le cas aujourd'hui. » Après un BTS agricole, le jeune Finistérien part effectuer son service militaire, puis s'engage dans la gendarmerie, son père n'ayant pas besoin de lui dans l'immédiat.
Ce n'est qu'en 2003 qu'il revient travailler sur l'exploitation, avant de la reprendre, un an avant la naissance de sa fille. Depuis peu, il est séparé de la mère de son enfant. « Elle ne comprenait pas les contraintes du métier », explique la mère de l'agriculteur, Annie Louboutin, qui s'est lancée dans le métier avec son mari en 1970.

« Être fou pour poursuivre »

Malgré la présence de deux salariés sur l'exploitation, Jean-Jacques Louboutin assure travailler une centaine d'heures par semaine, pour un salaire compris entre 350 et 500 euros par mois. « En sept ans, j'ai quasiment toujours travaillé en dessous du coût de revient », indique-t-il. Il en veut principalement à la grande distribution, qui « s'en met plein les poches et est en train de nous tuer ». « Un jambon acheté à l'abattoir par la grande distribution à 7,40 euros le kilo est vendu 17 euros le kilo au public », dénonce-t-il, mettant en cause les marges arrière, ces ristournes déguisées que les distributeurs demandent au titre d'une coopération commerciale.
Quant au prix préconisé par le gouvernement de 1,40 euro le kilo, l'éleveur se dit sceptique. « Il faudrait un prix de 2 euros le kilo pendant trois ans pour que je récupère toutes les années de perte », assure-t-il. Il vient de commencer à chercher du travail, idéalement dans le secteur commercial.
Une soixantaine de truies empruntent sous un généreux soleil breton le long couloir extérieur qui les conduit directement dans un camion. Elles quittent l'exploitation devant le regard ému de l'éleveur, après une décision en ce sens du tribunal de commerce. « Je suis en train de licencier mes ouvrières... Ça fait mal au coeur, mais économiquement parlant il faudrait être fou pour poursuivre. »

Questions: Comment acheter une entreprise agricole 960.000 euros alors qu'elle est endettée à 80%?
Comment les banques acceptent-elles de financer de telles opérations alors qu'elles refuseraient catégoriquement à tout candidat emprunteur "ordinaire" s'il dépassait 30% de ses revenus?
Comment peut-on faire 200.000 euros de déficit en réalisant 900.000 euros de chiffre d'affaires?
Réponses en grande partie à cause des emprunts illimités pour acheter du matériel toujours plus gros.
Un agriculteur m'a dit récemment qu'il allait changer de tracteur, je lui ai demandé pourquoi. Il m'a répondu "si je n'emprunte pas je vais payer des impôts...".

Ce ne sont pas les prix des produits qui sont pas assez chers, ce sont les charges financières que les agriculteurs se mettent sur le dos qui les étouffent, ils ne travaillent que pour les banques.

Un agriculteur m'a dit récemment qu'il allait changer de tracteur, je lui ai demandé pourquoi. Il m'a répondu "si je n'emprunte pas je vais payer des impôts...".

Ce ne sont pas les prix des produits qui sont pas assez chers, ce sont les charges financières que les agriculteurs se mettent sur le dos qui les étouffent, ils ne travaillent que pour les banques.

La question posée trouve sa réponse. Il semblerai que la solution est plus de gestion que de finance. l'expert-comptable ne semble pas faire son travail correctement?

Citation :

Ce Breton a pris la tête de l'exploitation familiale en 2007, après l'avoir rachetée à ses parents pour 960 000 euros, alors qu'elle était déjà endettée à près de 80 %

Avec un tel boulet,il n'aurait jamais dû commencer,pas étonnant que ça termine mal,même avec un prix de vente d' 1€40 le résultat aurait sans doute été le même !!!
Comment des banques ont-elles pu financer un projet pareil :hum:

papa a écrit:

Un agriculteur m'a dit récemment qu'il allait changer de tracteur, je lui ai demandé pourquoi. Il m'a répondu "si je n'emprunte pas je vais payer des impôts

Celui-là ne doit pas être endetté par contre.Comme quoi chaque situation est très différente...

Tu as vu juste LABAZE, je t'embauche comme financier, tu fera les comptes, avec toi, je suis sûr de toucher des royalties tous les mois. On devrait te mettre financier à la G-M les sous seraient bien gardé.

Evidemment que de se battre pour ou contre un prix de vente est trop simpliste ainsi qu'une comparaison avec un autre pays de l'UE.
Trop de charges !
La crise de l’élevage, est une illustration typique de la nuisance de réglementations injustifiées. Alors que petit à petit, chacun est bien obligé de reconnaître que les nitrates ne sont pas toxiques, mais bénéfiques, on continue à obliger les entreprises à investir dans des installations ruineuses pour diminuer le taux de nitrates dans l’eau. Aucune étude ne vient comparer les eaux des retenues collinaires et celles des rivières, notamment en aval des stations d’épuration. Ce serait prendre le risque de prouver que l’agriculture n’est pas le principal pourvoyeur de nitrates. 
Obliger un éleveur à agrandir sa fosse à lisier pour augmenter sa capacité de stockage de quelques mois, peu de temps après une précédente directive, c’est assurément l’acculer à la ruine quand il ne peut répercuter le coût d’une réfection totale dans le prix de vente de ses produits. 
Tout ça pour un but injustifié et inutile.  
Obliger, pas le biais de la norme, à refaire toute une installation électrique quand il n’y a qu’une mise à la terre ou un disjoncteur différentiel à installer, cela fait travailler l’électricien, mais ruine le client. 
Le mal français tient au fait que toute réglementation ne fait pas l’objet, avant sa promulgation, d’études prospectives sur les incidences de son application.
La conséquence est que les produits français sont de plus en plus rares, submergés par la concurrence étrangère, et que les produits de l’agriculture sont en train de subir le même sort : Attention, la deuxième activité excédentaire de la balance commerciale française régresse, l’agriculture va mal et l’indépendance alimentaire de la France risque de disparaître…

Alors quand j'entends votre membre qui critique l'attribution de subvention au monde paysan,sachez qu'il ne fait que transiter par leur outil de travail et qu'au final,c'est bien votre assiette qui est subventionnée et celui qui fait du gras,c'est peut-être VOUS !...

Ronan
Obliger, pas le biais de la norme, à refaire toute une installation électrique quand il n’y a qu’une mise à la terre ou un disjoncteur différentiel à installer, cela fait travailler l’électricien, mais ruine le client. 

Ce n'est pas moi qui le dit, mais la Mairie de GUIPRY qui veut refaire toute l'installation électrique suite a un budget quelle doit dépenser réalise les mêmes circonstances que l'on rentre dans l'agriculture.
Je rappelle que le maire est un exploitant agricole et qu'il est au fait de la problématique, alors qu'il montre l'exemple.
Economisez Monsieur le Maire, l'argent bien que la commune en regorge doit être économisé. Nous sommes en crise et se n'est pas fini mais que le commencement.
Merçi pour votre écoute!
Pour ce qui est des subventions, elles devraient disparaître, mais au niveau Européen.

Les industriels, les artisans, les commerçants, les agriculteurs personnes ne devraient toucher de subventions. Celle-cies ne devraient être distribuées qu'en cas de nécessités absolues car elle dérèglent et enlisent l'activité la dérègle, se qui abouti à se que l'on voit aujourd'hui.

Les politique se sont assis dans un système et en on jouit depuis toujours pour se donner de l'importance et dire qu'ils faisaient quelque chose, certains se sont fait de grosses cagnottes au détriments d'autres (comme les céréalier de la bausse...)

Les collectivités doivent réduire leur orgies ainsi que leurs train de vie et tous ceux qui touchent des subventions doivent apprendre a vendre leurs marchandises comme le font tous les acteurs économique depuis toujours.



Apprenez à vendre vos marchandises, entrez dans le monde du libre échange et de la concurrence.



La France est empêtrée dans un coopératisme à tout les niveau et cela bloque l'économie ainsi que la vie de tous.

RONAN si tu veux vendre tes produits ont peu monter une sorte de coop entre agriculteurs pour vendre de bons produits ou tu gagnera ta vie correctement et directement chez le consommateur
Je te rappelle que les magasins de Guipry super U ;  Leader Price ainsi que celui situé à Messac seraient très heureux de distribuer tes produits.
Il manque d'ailleurs un distributeur au bourg de GUIPRY
d'avoir des produits issu de l'agriculture locale à distribuer.

L'agriculture a de plus en plus de mal a exister sur son model de marché actuel;
Beaucoup d'agriculteurs demandent au ministre de revoir la stratégie de son modèle économique actuel.

Ne pensez-vous pas que le monde agricole et ses différentes organisations devraient se pencher sur une remise en cause ainsi qu'une étude approfondie, en utilisant la science du Marketing pour retrouver une orientation saine et sécurisante pour les années à venir ?

L'agriculture a t-elle les moyens d'exercer comme toutes entreprises avec des outils adaptés qui la comprenne et la prend en compte dans sa globalité de fonctionnement sur son ou ses marchés?

Ne doit-elle pas dès à présent prospecter et étudier ses prospectives réalisable et à forte marge.

Utilise t-elle tous les leviers qui sont à sa dispositions ou dormants, avant de mourir, pour certaines?

Que de questions dont il faut trouver les réponses en direction de la réussite.

cOMME NOUS LE DIT Monsieur koppler: Ou comment créer, conquérir, et dominer son marché.

Tous vos cris et s.o.s trouveront-ils une adresse quand chacun laisse à sa porte toutes les détresses et espère que le malheur ne les caresse ...

Belle vidéo en tout cas

Oui, belle vidéo mais si peu vue et écoutée...

On avance vers "le meilleur des mondes" cf Aldous Huxley. A lire ou relire à la lumière de nos mutations du XXIème siècle.

Ainsi, sachez que dans un pays de l'Union Européenne, des pratiques eugénismes existent en milieu médicalisé avec pignon sur rue. Des couples peuvent, après sélection de spermatozoïdes et ovules, concevoir par FIV des garçons à la demande.
Le coût est très élevé et les traitements hormonaux en amont particulièrement lourds pendant des mois et, naturellement, aggravés de conséquences à long terme sur la santé des femmes.

Cette information est véridique, j'en réponds car je connais un couple français qui participe à "ce programme d'un genre nouveau".
Faites-le savoir autour de vous !

N'oublions pas : TOUS RESPONSABLES, quel que soit le rôle de chacun d'entre nous.

Holland est né comme çà!

... Comme ça ? c'est-à-dire comme vous en somme ! Avec une paire authentique... pour bien ... ENTENDRE.
What else ? What did you expect ?

Si vous le souhaitez, nous pouvons faire l'expérience sur vous , vous aurez votre paire bien à vous!

Vous pourrez ensuite imiter SARKO en marchant comme un canard.

J'ai déjà "une paire bien à moi" ! Mais comme je ne marche pas sur la tête, je ne risque pas d'écarter les pattes. Par cet organe, j'écoute ... et rien d'autre.

Et si nous revenions à nos moutons, ou plutôt nos vaches bretonnes dans ce sujet concernant d'abord les agriculteurs, et non les manipulateurs de tout poils se prétendant ? généticiens ? politiciens et autres genres du même acabit.

Pavé dans la mare a écrit:

Et si nous revenions à nos moutons, ou plutôt nos vaches bretonnes dans ce sujet concernant d'abord les agriculteurs

Mouais !!!... Bonne suggestion,parce que là,ça dérive grave

Plus d'avis des plus jeunes agriculteurs de nos communes ???
Où en est-on aujourd'hui de leur situation laitière ?

La Chouette a écrit:

N'oublions pas : TOUS RESPONSABLES, quel que soit le rôle de chacun d'entre nous.

Et pour le lait aussi : TOUS responsables

volaudessusd'unnid'coucou a écrit:

La Chouette a écrit:

N'oublions pas : TOUS RESPONSABLES, quel que soit le rôle de chacun d'entre nous.

Et pour le lait aussi : TOUS responsables

Sans parler du tri sélectif !

Comment cela se fait -il que les agriculteurs n'exposent pas au salon du 24 et 25 Octobre prochain?

Foire d'automne voulez-vous dire ? Pour artisans et commerçants, pas agriculteurs.

Ce sera pour la prochaine fois car plus on est, meilleur c'est, n'est-ce pas. Avec les agriculteurs , il y a les animaux en plus et de la bouffe à gogo.