Dans un soucis d'économie budgétaire, pouvons-nous unifier les sites internet ainsi que les bulletins municipaux de G-M et com'info.

S'il était possible de rendre cohérent la communication réalisée aussi par la CO COM, Le pays et les communes en rassemblant la communication pour éviter son éparpillement en structurant son accès depuis un seul emplacement (site internet unique).

Cela demandera la mise en place d'une mutualisation des moyens sur l'ensemble des paramètres liés à la gestion de la communication quitte a y dédier des personnes spécialisées et compétentes à temps complet.

Ces personnes pourraient animer cette communications en tant que community manager et E-MAIRIE pour éviter tout déplacement physique aux citoyens sur le territoire, tout en promouvant celui-ci sur les réseaux sociaux (offre accueil, hébergement, touristique, industrielle, exportation).

Cette promotion et accueil du territoire pourrait prendre forme par l'intermédiaire d'un organisme à caractère mixte (Public, Privé) 

Une réflexion serait à engager sur la fiscalité applicable au regard de ceux qui bénéficieraient en retour de la création de valeur engendrée par cette entitée.

Il y aurait donc nécessitée d'identifier ceux dont les chiffres d'affaires progresseraient en rapport avec l'action menée par cette nouvelle entité.

L'observatoire sur l'activité touristique situé à Redon en est un exemple. (chifré, quantifié, analyser). Cette étude permettrait d'apporter des actions corrective pour en affiner l'organisation et les actions dans le but d'en améliorer le model et son efficacité opérationnelle en direction de la création de valeur attendue. 

Y a t-il un pilote dans l'avion?

Un pilote ? Oui : VOUS

Je préfère que nous le fassions tous ensembles , c'est plus amusant et cela demande de s'organiser. C'est un bon apprentissage pour savoir si nous sommes capable de travailler en réseau.

Ce mode de fonctionnement est bien plus prometteur car aujourd'hui seul on fait peu de chose et souvent que de petites choses sans importance

On patine dans la choucroute, on fait du surplace.

Méthode , rigueur, apprentissage, travail en réseau deviennent indispensable pour pouvoir se placer sur le plan compétitif.

N'oublions pas que nous sommes à l'aube d'une explosion de la robotique, la concurrence va s'intensifier et remettre l'être humain devant ces responsabilités.

Comme le dit le Maître de guerre cleanteastwood,  Il faut se battre, s'adapter et vaincre.

La robotique nous met dans cette état et c'est maintenant que ça se passe, regarder tous les chômeurs, on en prévoit trois millions de plus dans les cinq anées à venir. Le plan robotique de 34 Millions d'Euros en subventions auprès des PMI - PME développé par M. Macron l'atteste.

Désolé, mais seul nous sommes dépassés et pour rester dans la course nous avons l'obligation à ce que nombres d'entre nous réussissent, ne serait-ce, pour payer les retraités et tout les futurs inactifs afin de garantir une certaine paie sociale toute relative.

Une bonne blague!

De l’art de rendre une proposition irrésistible
Un homme qui bégaye fortement se présente pour un poste de vendeur
de bibles en porte-à-porte. Le directeur, pensant que l’homme n’arrivera
jamais à vendre quoi que ce soit, est sur le point de lui dire de chercher
un autre travail, quand l’homme le supplie : « S-s-s-s-s-s’il v-v-v-vous pp-
p-plaît, d-d-d-onnez-m-moi une chan-chan-chance. Je p-p-peux l-l-le
f-f-faire. »
Le directeur lui donne alors quelques bibles en lui disant qu’il peut passer
le restant de la journée à essayer de les vendre. À midi, le bègue est
de retour, il a tout vendu. Impressionné, le directeur lui demande s’il
peut l’accompagner durant l’après-midi pour comprendre son succès.
« B-b-b-bien s-s-sûr », répond le bègue. Les deux hommes se mettent en
route.
Ils s’approchent d’une maison et le bègue frappe à la porte. Lorsque la
propriétaire ouvre, l’homme dit : « B-b-b-b-bonjour m-m-m-m-madame.
J-j-je v-v-v-vends d-d-des b-b-b-ibles. V-v-v-voudriez-vous en ach-ch-cheter
u-u-une où v-v-v-voulez-vous qu-qu-que j-j-j-e v-v-v-ous la-la-la
lise ? »